• Nous renouvelons notre demande de rendez-vous auprès de l’académie de Créteil restée sans réponse en 2015 et en profitons pour leur rappeler l’illégalité de leur démarche de demande de justificatifs pour la déclaration d’instruction, relevant de la sphère privée.

    – copie du livret de famille,

    – bulletin scolaire,

    – certificat médical

    – fiche de renseignement mentionnant « demande ». En effet l’instruction en famille est un droit, soumis à déclaration pour laquelle le modèle de lettre proposé sur le site de l’académie de Créteil suffit amplement.

    Ces documents sont mentionnés sur le site internet de l’académie et des familles ont été relancées par courrier et par téléphone pour fournir ces pièces.


  • En juillet, nous recevons cette réponse d'Alain Ouvrard, Directeur de cabinet du rectorat de Versailles (non destinataire de notre courrier).

    Il cite la circulaire, le recours parfois nécessaire aux "exercices individualisés" pour ne pas dire test et réaffirme que les inspecteurs et professeurs respectent la loi. Sans mentionner notre demande de rendez-vous.


  • Un rendez-vous nous est accordé dans un délai très court, pendant l'heure du déjeuner (pendant 1h30).

    Une délégation de parents est reçue le 3/07/2015 par M. Dechambre (IA-DASEN 1er degré), Mme Bisot (IA-DASEN 2ème degré), Mme De Beauvais (2nd degré), Mme Richet (vie de l'élève et 1er degré) et Mme Menyé (juriste).

    Nos interlocuteurs étaient sur la défensive, avec parfois un ton hiérarchique. Accompagnés d'un juriste, usant beaucoup de techniques de communications "yes-set" pour nous éloigner du fond.

    L'argument principal qui nous a été opposé était que nous citions quelques malheureux exemples mais que la majorité se passait bien, les familles étaient satisfaites selon eux des contrôles second degré dans leurs locaux.

    Suite à la décision du 18/12/2007 de la Cour Administrative de Paris, le choix du lieu du contrôle reviendrait in fine à l'administration.

    La protection de l'enfance a été également mise en avant, comme si le travail de l'inspecteur relevait de la protection de l'enfance avec un devoir de signalement supérieur à un citoyen ordinaire.

    Ce rendez-vous nous a permis de nous présenter, de dire qu'il y avait des problèmes. Les interlocuteurs n'avaient pas envisagé un contrôle unique par fratrie. M. Dechambre a conclu sur le fait de rappeler aux inspecteurs le respect et leur demander de s'informer sur nos méthodes pédagogiques.

    Nous n'avons toujours pas la garantie que les contrôles seraient améliorés. Nous redemanderons donc une nouvelle entrevue.

     


  • Nous adressons un courrier commun de présentation et de demande de rendez-vous aux académies de Versailles, Paris et Créteil (Recteurs, DASEN, avec copie au ministère).

    -> aucune réponse de l'académie de Créteil

    -> une lettre sans suite de Versailles

    -> un rendez-vous à Paris


  • Création de notre collectif de familles.





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